Les chiffres de l'apprentissage
| Total | % Femmes | |
|---|---|---|
| Formation transitoire sec I -> sec II | 16'508 | 54.8 |
| Formation professionnelle initiale (3) | 234'463 | 42.4 |
| - Formation professionnelle initiale CFC | 209'247 | 41.7 |
| - Formation professionnelle initiale AFP | 8'625 | 45.9 |
| - Formation professionnelle initiale non réglementée par la LFPr | 5'275 | 56.7 |
| - Ecoles de commerce et d'informatique | 8'889 | 47.5 |
| - Formation élémentaire | 2'427 | 36.8 |
| Maturité professionnelle (4) | 8'148 | 47.7 |
| Formations générales | 88'958 | 59.1 |
| - Maturité gymnasiale | 73'078 | 56.0 |
| - Ecole de culture générale | 13'919 | 73.1 |
| - Maturité spécialisée | 1'431 | 81.8 |
| - Autres formations générales | 500 | 58.4 |
| Formations compémentaire du sec II | 3'219 | 63.3 |
| - Passerelles | 218 | 55.1 |
| - Autres formation transitoires sec II -> tertiaire | 627 | 57.9 |
| - Autres formations complémentaires | 2'374 | 65.4 |
| Degré secondaire II | 351'296 | 47.5 |
La voie professionnelle reste - et de loin - le choix de prédilection des jeunes qui entreprennent une formation du degré secondaire II en Suisse. Depuis 1990, elle a toutefois légèrement perdu de son importance et cela, essentiellement au profit des écoles de maturité gymnasiale. En 1990, la voie professionnelle attirait plus de 75% des jeunes. Depuis 2004, ce taux semble s'être stabilisé aux environs de 70%.
Lorsqu'elles débutent une formation au degré secondaire II, les femmes sont proportionnellement plus nombreuses que les hommes à s'orienter dans une filière générale, aussi bien dans les écoles de maturité gymnasiale que dans les écoles de formation générale. La formation professionnelle demeure néanmoins la voie de prédilection pour chacun des deux sexes.
L'indicateur « taux de restants » renseigne sur la part des apprentis encore employés dans la même entreprise une année après la fin de leur apprentissage. En filigrane de cet indicateur, il y a la question de savoir si une entreprise forme des apprentis avant tout pour assurer la relève ou si ces derniers cherchent (doivent chercher) un emploi en dehors de l'entreprise à la fin de l'apprentissage. Les taux de restants sont les plus bas dans la Région lémanique. Ils sont supérieurs de dix points environ à Zürich et dans la Suisse du Nord-Ouest. Ces écarts reflètent sans doute aussi la situation économique des différentes parties du pays.
Plus l'entreprise est grande, plus la part des apprentis travaillant encore dans l'entreprise une année après la fin de leur formation est importante.
(sources Office fédéral de la statistique / OFS)
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